
Pourtant, la bergerie entre la junte et la presse s’était rapidement construite. Entre les deux, l’une avait vraiment foi en l’autre. L’espérance d’un avenir commun radieux était réciproque. Au point que parmi les institutions dissoutes par le coup d’Etat puis ressuscitées, la haute autorité de la communication fut la deuxième.