
Réagissant à de nouveaux cas de personnes tuées présumément par les forces de défense et de sécurité, et à la libération de trois membres du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) le 10 mai, Fabien Offner, chercheur au bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre d’Amnesty International, déclare :