
La décision de privatiser la compagnie avait été prise en Conseil des ministres, le 8 mars 2002, sous la pression du FMI et de la Banque Mondiale. En dépit du changement du statut juridique de la compagnie et de l’ouverture du capital social aux investisseurs privés, aucune offre d’achat d’actions ou de reprise de la nouvelle Air Guinée n’avait été enregistrée par l’État avant la dissolution de la compagnie.